Twilight's Eternity
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Twilight's Eternity

La fascination a ceci d'extraordinaire qu'elle ne s'embarrasse d'aucun interdit. Aucun jugement de valeur.
 
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 Le premier jour du début de ma vie... [Fe Cullen/Hale]

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Bella Swan
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Bella Swan


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MessageSujet: Le premier jour du début de ma vie... [Fe Cullen/Hale]   Le premier jour du début de ma vie... [Fe Cullen/Hale] EmptyLun 23 Fév - 2:39



    Je n'avais pas bien dormi. Ma première nuit à Forks n'avait pas été des plus géniale, ayant été dérangée constamment par le bruit de la pluie qui ne cessa de tomber et le vent qui soufflait fort, faisant s'écraser avec dureté les gouttes d'eau contre ma fenêtre. Mais tout ça n'était rien comparé à l'appréhension qui m'avait noué l'estomac à l'instant même où je m'étais glissée sous mes couvertures. Demain, je devrais affronter ma première journée de cours, et Dieu sait à quel point on peut être un bête de foire lorsqu'on est nouveau, alors nouveau dans une si petite ville, je n'osais même pas l'imaginer. De nature très discrète, je détestais être le centre de l'attention et préférais me fondre dans la foule, ce qui était quelque chose de très simple à faire à Phénix. Hors, ici, passer inaperçue n'était pas réalisable.

    Je consentit donc à me lever avant même que mon réveil ne sonne, et me dirigea à pas de loup vers la salle de bain pour ne pas réveiller Charlie qui dormait encore. Je ne m'arrêta même pas devant le miroir, imaginant sans aucune difficulté les grosses cernes colorés mon visage blafard, me déshabillant rapidement avant de rentrer dans la cabine de douche et de faire couler l'eau chaude. J'étais si bien là que j'envisageais le fait de ne pas sortir durant quelques minutes, puis m'extirpa de mon paradis pour me confronter à l'enfer de cette journée. Alors que j'enfilais mon jean et un sweat que je n'avais mit qu'une seule fois à Phénix tellement il était chaud, j'entendis mon père descendre lourdement les escaliers. J'espère au moins ne pas l'avoir réveillé...

    Je fis finalement face à la glace et ne m'attarda que très peu sur mon apparence physique. Mes cheveux châtains étaient trempés et ondules légèrement sur mes épaules, mon teint, toujours aussi pâle, était souligné par les marques violettes sous mes yeux d'une couleur chocolat. J'attrapais la brosse d'un geste pressé, le sèche cheveux de mon autre main, et commença à essayer de dompter ma crinière, ce qui n'était pas chose simple. J'abandonnais au bout de dix minutes seulement, laissant mes boucles tomber en cascade sur mes épaules. Je sortis ensuite de la salle de bain, passant par ma chambre pour prendre mon sac de cours, et finis par descendre en bas.

    Charlie était déjà assis à table, buvant une tasse de café en lisant le journal. Il était déjà habillé de son uniforme de policier et lisait tranquillement le journal. À ma vue, il leva doucement la tête, prononça un « B'jour » étouffé dans sa barbe et reprit le cours de sa lecture. Ce qui était bien avec mon père, c'est que les discussion qu'il pouvait avoir se résumé à quelques mots seulement, et c'était une de ses grandes qualités.

    -Bonjour Papa...

    Je m'approcha ensuite des étagères, en sortit un bol et une cuillère que je posa sur la table. Après m'être saisit de mes corn-flakes et du bidon de lait, je m'installa en face de lui en préparant mon petit déjeuner tout en sachant parfaitement que je ne le toucherais certainement pas. Je fis cependant un effort, en prenant trois quatre bouchées avant de jeter le tout à la poubelle et de faire la vaisselle.

    -Prête pour cette journée d'école?

    Je ne me retourna pas vers Charlie, préférant qu'il ne voie pas la mine terrifiée qui pouvait se lire aisément sur mon visage. Prête, je ne l'étais pas du tout, mais je crois que si je pouvais le repousser, je ne le ferais pas. Après tout, aujourd'hui ou demain serait la même chose, ma timidité maladive ne guérira certainement pas pendant la nuit. Je soupirai doucement alors que je lui répondis d'une voix que j'espérais assurée:

    -Je suis même impatiente!

    J'avais insufflée à cette réplique plus d'ironie qu'il en aurait fallut, et mon père levait les sourcils quand je me retournais face à lui. Pendant l'espace d'un instant, je crus qu'il allait me dire quelque chose pour me rassurer, mais je pense qu'il ne trouva pas quelque chose d'assez satisfaisant selon lui et il se contenta donc de hausser les épaules en se levant de sa chaise.

    -Ça se passera bien, tu verras...

    Ce n'était pas si mal pour un père qui n'avait jamais vécu avec sa fille, mais c'était loin de changer ma nervosité. Je hochais la tête pour le convaincre que ça allait et remonter directement à l'étage pour me laver rapidement les dents. Lorsque je redescendais, il n'était plus là, et je m'éclipsa moi aussi après avoir attrapé mon sac de cours et enfilé l'horrible imperméable rouge qui était mien dorénavant.

    Dans l'allée, ma camionnette assortit à mon imperméable m'attendait. Si son allure était pitoyable, je la trouvais personnellement super cool, et c'était la seule chose bien qu'il me soit arrivé à Forks pour le moment. Je grimpais à bord, le coeur battant plus vite que d'habitude, et mit le contact après deux ou trois ratés. En route pour l'enfer...

    Trouvé le lycée ne fut pas aussi dur que je me l'imaginais, et après être passée à l'administration où tout le monde avait l'air de savoir qui j'étais, je me gara sur le parking du lycée où j'eus l'heureuse surprise de constater qu'aucun des autres véhicules n'était franchement en bonne état. A part la volvo garé plus loin, les autres voitures paraissaient être sorties tout droit de la déchèterie, et ça me rassura dans un sens. Pourtant, dès que je m'y le pied dehors, tous les regards étaient braqués sur moi, et je ne manquais pas de piquer un fard avant de me diriger d'une allure pressée vers ce qui me semblait être le hall.

    La matinée ne fut pas si terrible que je me l'étais imaginée, et outre le fait que tout le monde ici semblait savoir qui j'étais et qu'à chaque heure, un bienveillant camarade me proposait son aide pour me repérer dans l'établissement, tout avait été plutôt calme. Mieux que ça, je n'avais même pas participé au cours d'éducation physique, ce qui avait égaillé cette journée sans soleil.

    J'entrais finalement dans le réfectoire, accompagnée d'une jeune homme, Mike, qui ne m'avait pas vraiment lâchée depuis que j'étais arrivée, et d'une jeune fille aux traits joyeux qui partageait mon cours d'anglais. Son prénom refusait de s'inscrire dans ma mémoire, mais elle ne semblait pas s'en offusquer, et tant mieux... Ils m'invitèrent à leur table, me présentèrent à leurs amis – ce qui me paraissait inutile vu que tout le monde connaissait Isabella « Bella » Swan, la fille du chef – et me parlèrent de tout le élèves qui passaient devant nous alors que je croquais distrètement dans une pomme, écoutant à demi, quand soudain entra un couple des plus lumineux et merveilleux qu'il me fusse donné de voir.

    La jeune femme était sans doute la plus belle personne qui je n'avais jamais vu. De long cheveux blonds tombant le long de son dos, un teint encore plus pâle que le mien, scintillant comme la neige fraîche, et une bouche vermeille à faire pâlir Blanche Neige. Elle était tout simplement époustouflante et même dans un sens effrayante.

    Son compagnon quant à lui était très grand, et d'une musculature tellement imposante qu'il me fit de suite pensé à un ours. Sa peau était identique à celle de sa compagne, et ses cheveux noirs la faisait encore plus ressortir. Il sourit légèrement, et j'eus peur qu'il ne saute sur quelqu'un pour le dévorait tellement il avait l'air affamé.

    -Eux, c'est les Cullen, ils ont été adoptés par le docteur Cullen et sa femme. La belle blonde là bas, c'est Rosalie Hale, et le costaud à côté, c'est son copain Emmett. Ils sont ensemble, je sais même pas si c'est légale!

    Mais je n'écoutais déjà plus, repérant une jeune fille aux air de lutin entrer dans la salle. Elle était petite et ses cheveux coupés courts et coiffés en pics étaient bruns. Son air rêveur allait bien avec sa démarche gracieuse qui lui donnait des allures de danseuse et un sourire fin étirait ses lèvres rosées.

    Elle tenait par la main un jeune homme très bien bâti aussi, les cheveux blonds et assez longs pour ondulés jusqu'à ses épaules. Si son teint ne me choqua pas, l'expression de souffrance sur son visage fit faire à mon coeur un raté auquel je n'étais pas préparé.

    -La fille un peu bizarre, c'est Alice Cullen, elle est complètement dingue, et le type qui a toujours l'air de souffrir, c'est Jasper Hale, le jumeau de Rosalie.

    Encore une fois, mon attention fut distraite par l'arrivée d'une autre de ces créatures merveilleuses, et si cette fois-ci mon coeur arrêta totalement de battre pendant une fraction de seconde, je ne m'étais jamais sentie aussi vivante qu'à ce moment-là...


Dernière édition par Bella Swan le Ven 27 Fév - 1:01, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Le premier jour du début de ma vie... [Fe Cullen/Hale]   Le premier jour du début de ma vie... [Fe Cullen/Hale] EmptyMer 25 Fév - 23:02

    Ses cheveux trop courts, trop sauvages, s’agitaient autour de son fin visage, alors qu’Alice marchait gracieusement dans la cour du lycée de Forks. Son regard, comme d’habitude, était perdu, un peu trop rêveur, comme si elle fixait quelque chose qu’elle seule voyait ; ce qui n’était pas le cas. Aucune vision ne l’avait visité, aujourd’hui, et la jeune se contentait donc de vivre comme elle le pouvait, tentant de passer pour ce qu’elle n’était pas : humaine. Ainsi, il existait plusieurs rituels pour tout même avoir l’air normal : changer d’habits quotidiennement – et ne vous inquiétez pas, Alice portait une attention particulière à ce point, féru de mode et de vêtements tous aussi neufs que beaux et chers -, conduire une voiture normale tout en ne roulant pas excessivement vite, aller en cours quotidiennement. Et puis, le repas du midi. Cette idée réussit à lui arracher un sourire silencieux. Manger. Voilà bien quelque chose qu’elle n’avait pas fait depuis des années. Manger réellement, s’entend. Manger et goûter autre chose qu’un goût fade de terre. Enfin. C’était un tracas bien petit si on le comparait à résister aux odeurs enivrantes qui pouvaient les entourer.


    Et encore. Pour elle, c’était une habitude, c’était simple. Elle n’y faisait même plus attention, lutine trop bien élevée par les Cullens. Pour Jasper, non. Lui n’arrivait pas à oublier ces effluves qui comme des sirènes pouvaient les entrainer à commettre des bêtises. Cette idée fît tourner doucement son fin minois, et elle glissa ses pupilles dans celles, si dorées, de son amant. Ce qu’elle pouvait l’aimer. Et ce qu’elle n’aurait pas donné pour qu’il soit plus heureux. Un délicat sourire enjoliva encore son visage, et un échos lui fût rendu sur celui de Jasper. Pour une fois, cet air torturé le quitta, remplacé par un bonheur qu’ils ne partageaient qu’à deux. L’amour. Jamais plus elle ne pourrait imaginer sa vie sans lui, et l’idée même lui arrachait un frisson désagréable. Il était sa moitié, celui dont elle avait besoin et celui qui la comprenait. Celui qu’elle comprenait. Complémentaires jusqu’au bout.

    Rosalie et Emmet les précédaient. Le regard de nouveau lointain d’alice revint vers eux, juste avant de pousser la porte, aidée de Jasper. La salle était bondée, et pour prévenir tout problème, elle glissa machinalement sa main dans celle de son amant. Ne pas tenter avec le diable, ne pas jouer avec celui-ci. Inutile, et dangereux. Sa voix s’éleva alors, trop basse pour les humains mais assez haute pour que les Cullens et les Hales ne l’entendent, et elle chuchota doucement
    « Tout ira bien, comme d’habitude »
    Ca, elle le savait. Ce serait dur, comme toujours. Mais tout irait bien.

    De sa démarche de danseuse, elle rejoint alors la table où était déjà posée Emmet et Rosalie, prenant le soin auparavant de remplir un plateau d’aliments inutiles qu’ils ne mangeraient pas. Juste pour les apparences, n’est-ce pas ?
    S’y attablant, et posant délicatement une de ses fines mains sur la cuisse ô combien musclée de Jasper, elle se figea quelque peu. Ses yeux cherchaient quelque chose, cherchaient à savoir ce que prévoyait la journée, mais elle ne pouvait dire quoi. Rien ne lui venait, assez étonnement. Avec un soupire désabusé, elle reporta donc ses deux pupilles sur la salle, avec un sourire rêveur aux lèvres. Non, elle ne fixait rien, comme à son habitude. Alice pensait, et rien ne semblait pouvoir attirer son attention … sauf elle.
    Un court instant, ses deux pupilles dorées se posèrent sur la nouvelle, et elle l’étude pendant une trop courte seconde avec un intérêt étrange, bien qu’un peu morne. Contradictoire, n’est-ce pas ?
    Mais bien vite, elle s’en détourna, et se concentra de nouveau sur sa famille. Ceci était la seule chose importante après tout, n’est-ce pas ? En faite, non. Parce que si elle n’avait pas eût de vision aujourd’hui, elle en avait eût une le jour précèdent. Très tard dans la soirée, dans la nuit, mais le jour précèdent. Et si elle n’en avait parlé à personne si ce n’était Jasper, il y avait bel et bien une raison. Ne pas pousser le hasard. Ne pas l’aider. Car elle n’était pas encore totalement certaine que le futur ne serait que joie si elle il se réalisait. Car comment réagirait-il, lui, fasse à celle qui deviendrait sa chanteuse ? S’appliquant aussitôt à ne plus y penser – sûre qu’Edward n’attendait qu’une chose : voire ce qu’elle lui cachait si bien depuis plusieurs heures -, et se concentrant sur tout autre chose – Jasper, et l’air torturé carrément mignon mais complètement crève cœur qu’il affichait -, elle s’autorisa un sourire. Qui vivra verra. Ce serait aussi le cas pour Edward, pour une fois, puisque la médium ne lui révèlerait pas, ô non, ce qu’elle avait vu cette nuit même ..
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MessageSujet: Re: Le premier jour du début de ma vie... [Fe Cullen/Hale]   Le premier jour du début de ma vie... [Fe Cullen/Hale] EmptyVen 27 Fév - 0:28

Rien ne laissait présager qu’aujourd’hui serait un jour différent à Forks. L’aube arrivait à peine, sans grande éclaircie –une bonne chose- et c’est sur sa simple banquette qu’Edward se trouvait, assis, armé d’un livre qu’il devait déjà avoir lu des dixaines de fois. Il fallait bien s’occuper en attendant l’heure du départ, et croyez le où non, les journées sans fins étaient bien plus longues que quiconque ne puisse jamais imaginer, à moins bien sur d’être un immortel. Air serin et pourtant froid à la fois, voir Edward détendu n’est pas chose commune, même dans un pareil moment de calme, en effet, chaque jour pour lui est significatif d’un eternel recommencement, une boucle sans fin, qui au final, ne mène jamais nulle part. Une vie de semblant en quelques sortes. Faire semblant d’être « normal », faire semblant de boire, manger, de se plaire en compagnie des autres, rien n’est vrai là dedans, pourtant, c’est ainsi qu’il faut se comporter, pour tenter de supporter un peu mieux cette pseudo vie.

C’est la voix d’Alice qui indiqua le moment de partir en cours, et qui tira Edward de sa lecture, alors qu’il enfilait sa veste qu’il avait oublié d’accrocher au porte manteaux la veille. Descendant les marches le plus humainement possible, il adressa un bref signe de tête à ses parents, avant de suivre ses frères et sœurs jusqu’au garage. Rosalie monta dans son cabriolet rouge, tandis ce que Jasper, Alice et Emmett grimpèrent dans la voiture de ce dernier. Edward quand à lui, monta dans sa Volvo, et ne se pressa pas le moins du monde sur le chemin les menant tous au lyçée de Forks. Un endroit où la vie pour les Cullen, n’avait rien de simple. En effet, ce n’est pas une mince affaire pour des vampires que de se retrouver entourer d’autant d’humains, la tentation est forte, une chance qu’ils aient reçu une bonne « éducation », merci Carlisle.

La beauté remarquable des Cullen n’attisaient plus autant l’attention qu’à leur arrivée, ce qui les rendait un peu plus comme « tout le monde », une chose appréciable pour Edward qui se lassait bien trop vite de ces yeux rivés sur eux, certes il en avait l’habitude, mais il n’avait pas besoin de ça pour se souvenir qu’il était différent des autres, et encore plus lorsque vous percevez les pensées de ceux qui vous épient. Ah, cela n’a pas été préciser mais Edward peut aisemment lire dans les pensées des gens, inutile donc de préciser qu’il est impossible de lui cacher quoi que ce soit, un bel avantage, qui pourtant parfois, s’avère être bien trop chiant. Une matinée de cours des plus banales, jusqu’à ce que l’heure du déjeuner se manifeste. Comme souvent, Edward traina à la fin du dernier cours de la matinée, retardant le plus possible le moment de rejoindre la caféteria, quelle stupide chose que de faire semblant de manger juste pour paraitre normal, malheureusement, le prof sembla plus pressé de manger que de bavarder sur le cours suivant, et Edward du, à contre cœur, se rendre à la caféteria.

A peine la porte du lieu franchit, il ne passa pas à côté de quelques regards portés sur lui, mais son attention fut capté par la voix d’une jeune fille qui sembla expliquer à quelqu’un qui étaient les Cullen, et un sourire ne put être réprimé lorsqu’il passa près d’elles, sans pour autant leur prêter grande attention. Vaguement, dans les couloirs, le vampire avait perçu quelques pensées concernant l’arrivée d’une nouvelle élève, ce qui au fond, ne l’intéressait pas tant que ça, pour lui, il s’agirait d’une fille parmis les autres, il ne savait pas encore qu’il s’agissait de La fille. Rejoignant ses frères et sœurs, assis à une table près de la fenêtre, il posa toutefois un regard curieux envers la table d’où venaient les explications juste avant, et son visage si lisse se crispa l’espace d’un instant. Le néant. Pourquoi autour de cette fille à la peau si pâle, semblait-il y avoir un problème, ne pensait-elle à rien, en cet instant, alors qu’elle s’était retournée pour regarder les Cullen, pourquoi soudainement, Edward avait cette impression de… D’impuissance… De ne pas… Impossible, les pensées de cette fille ne lui parvenaient pas ! Reportant son attention sur ses frères et sœurs, le regard qu’il avait jeté à ces filles, ou plutôt à cette fille, n’avait pas durer plus de deux secondes, pourtant, durant tout ce temps, il avait eu le temps de l’analyser, et si son visage se crispa une nouvelle fois, ce fut pour une toute autre raison : Une odeur de sang bien trop puissante à son goût, une soudaine impossibilté de résister et de se contenir.

« Il faut que je sorte » Dit-il simplement à l’intention des autres, la voix sèche et le ton froid.

Ses mains se crispèrent et il semblait soudainement être en colère, comme s’il allait s’énerver d’un moment à l’autre. Il ne s’était encore pas levé, hésitant à se donner en spectacle, mais résister à cette soudaine attraction pour le sang humain lui brûlait le nez ainsi que la gorge, il fallait qu’il s’éloigne, oui, mais de quoi ?
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MessageSujet: Re: Le premier jour du début de ma vie... [Fe Cullen/Hale]   Le premier jour du début de ma vie... [Fe Cullen/Hale] EmptySam 28 Fév - 12:40

Il était 7h00 quand Jasper dut se résoudre à quittée la foret qu'il avait gagnée avec son amante:Alice pour la nuit,quitte à ne pas dormir autant admirer la lune du haut d'un arbre de la foret qui entourait leur villa. Ils étaient donc rentrée car il commençait les cours à 8h00 évidemment,et Alice se chargea de lui trouver des vêtement,Alice et Jasper étai plus ou moins toujours assortis dans leur tenues de tout les jours,et pour cause Alice les choisissaient avec le plus grands soin. Il avait ensuite passé une bonne dizaine de minute à coiffée ses cheveux blond qui ondulaient naturellement.. Finalement il portait une chemise blanche et un pantalon noir tandis qu'Alice portait un haut blanc et bleu rehaussait par un jeans bleu lui aussi,pourtant l'harmonie entre les deux amoureux étaient parfaite...Il descendit en compagnie de sa douce dans la cuisine,qui n'avait jamais servie mais quand des gens du métier de Carlisle venait il aurai été étrange que leur maison ne comporte pas de cuisine.Il attrapa ses affaires de cours et se dirigeât avec le reste de la famille dans l'immense garage de la maison Cullen,vivre l'éternité permettait au moins une chose:avoir la maison de ses rêves.

Puis la journée commença,une journée comme les autres à tenter de paraitre le plus normal possible quand on ne l'est pas... Il avait par chance cours avec Alice dans toute ses heures heureusement car un instant d'inattention et il pouvait céder à la tentation de toute ces odeurs les plus alléchantes les unes que les autres... C'était pour cela qu'il avait toujours l'air de souffrir simplement car toute ces odeurs sentait bien trop bon pour le jeune végétarien.

Une fois dans la garage la question du jour étant qui prend quelle voiture... Jasper ne tenait pas spécialement à arrivé dans le cabriolet rouge de Rose aujourd'hui,c'était plus facilement remarquable et il ne tenait pas à se faire remarqué d'avantage,la Volvo d'Edward était bien mais la musique qu'il écoutait déplaisait à Jasper aussi la Jeep d'Emmet était la meilleur solution peut être plus remarquable mais plus confortable aussi. Il monta à l'arrière se tenant debout comme d'habitude avec Alice prêt de lui tandis que Emmet se tenaient au place passager... Ils démarrèrent et Emmet ne put s'empêcher de dépasser les limites de vitesse pour leur plus grand bonheur,Jasper comme les autres Cullen adoré la vitesse,le principale était d'arrivée au lycée d'une vitesse normale ce qu'ils firent. . Il descendit et attrapa Alice qui était plus petite que lui d'une bonne dizaine de centimètre si ce n'était plus et lui prit machinalement la main,certain regard se tournèrent vers eux tous,mais moins qu'a leur arrivée à Forks,un véritable cauchemar pour Jasper ce jour d'arrivée des regards humains l'observant si il en avait prit l'habitude il restait le plus sensible de la famille aux odeurs de sang....Il sentit une odeur de sang diffèrent de d'habitude mais ne sut dire d'ou celle ci provenait exactement..

Puis la journée débuta,par chance tout ses cours étaient en compagnie d'Alice car il savait très bien qu'à la moindre inattention il pouvait vider un de ces humains de leur sang et cela n'était pas très réjouissant pour le jeune végétarien . Voila d'où provenait la rumeur qu'il semblait toujours souffrir car il souffrait de ne pouvoir se relaxer sans manquer de planter ses canines développer dans la gorge d'un de ses camarades de classe. Cette perspective lui déplaisait au plus haut point,car avec un don comme celui de Jasper quand on plante ses dents dans l'humain que l'on vide de son sang,on ressent toutes ses émotions,et c'est cela qui la pousser a quitter Peter et Charlotte et à venir chez les Cullen avec Alice.

Après quatre heure de cour pas forcement passionnant,en effet vu depuis combien de temps il apprenait les choses du programme de cette année,il aurai put s'endormir si il l'avait put et avoir A+ au contrôle,ce qui était drole était d'observer la différence entre les professeur de sa première année de terminale a celle ci,ils avaient tous des méthodes différentes qui évoluaient aussi avec le temps . Donc après ces quatre heures de cours,lui et Alice rejoignirent Rosalie et Emmet ainsi qu'Edward pour la pause déjeuner. La pause déjeunerai Jasper adorait ils prenaient de la nourriture et ne touchaient jamais à rien,de toute façon ils mangeaient à cinq sans personne d'autres alors qui viendrai leur demander pourquoi ils ne mangeaient pas....Certains élèves regardaient d'un drôle d'œil les relations qu'entreprenaient Emmet et Rosalie ainsi que Jasper et Alice pourtant aucun lien du sang ne les unissaient....Rose et Emmet furent les premiers à pénétrer dans la Cafétéria,et étonnamment à ce moment plus de regard que ce matin se tournèrent vers eux... Jasper et Alice les suivirent. Alice de sa demarche dansante qui faisait apparaitre un mince sourire sur le visage torturée de Jasper. Il se laissa prendre la main,mieux valait prévenir que guérir.... Il entendit la phrase d'Alice,oui tout irai bien mais il préférait prendre ses précautions. Il s'assit à coté d'Alice à la table déjà occupé par Emmet et Rose tandis qu'Edward les rejoignaient,il plaça un bras autour des épaules de son amante,tandis qu'elle avait placée une de ses mains sur sa cuisse. Puis celui ci les rejoignit... Jasper jouait avec une pomme verte qui était un de ses fruits préférés quand il était humain... Tandis qu'il sentait le regard d'Alice sur lui,il sentit une odeur enivrante et cessa de respirer pour ne passe laisser enivrer,Edward ne sembler pas non plus insensible à cette odeur Jasper dit

-Du calme Ed,ça va aller....

Il deposa un baiser dans le cou d'Alice ou son souffle chaud et envoutant entrer en contact avec la peau froide et dure d'Alice,un vrai choc de temperature....
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MessageSujet: Re: Le premier jour du début de ma vie... [Fe Cullen/Hale]   Le premier jour du début de ma vie... [Fe Cullen/Hale] EmptyLun 2 Mar - 16:59


    Je cessa de respirer pendant quelques secondes. Devant moi venait d’apparaître la plus belle chose que le monde avait dût jamais porter et à côté de ses frères et sœurs, je le trouvais encore plus magnifique. Il avait l’allure d’une star de cinéma et encore, la comparaison était bien pauvre à ses côtés. Sa démarche était tellement gracieuse que j’avais l’impression qu’il glissait plus qu’il ne marchait. Il était habillé avec un goût très prononcé tout en restant pourtant sobre, comme si il ne voulait pas attirer l’attention sur lui malgré sa beauté hors du commun.

    Sa peau était d’un blanc tellement pur qu’elle éblouissait ma vue et je dû faire un effort considérable pour ne pas cligner des yeux à plusieurs reprises. Il devait mesurer au moins 1m80 facile et sa musculature, même si elle paraissait bien légère par rapport à son premier frère, était impressionnante.
    Ses cheveux étaient d’une couleur cuivre merveilleuse, et il ne paraissait pas avoir prit un grand temps ce matin en essayant de les mettre en ordre ce qui lui donnait une allure décontractée qui contrastait trop avec l’expression de son visage.

    Je détaillais celui-ci avec une attention particulière, ayant peur que devant moi cette illusion disparaisse soudainement. Sa mâchoire était forte, ses pommettes hautes et son nez était droit, parfait, comme le reste de son être. Ses lèvres étaient rosées, pleines et elle me paraissait si douce que je m’imaginais l’espace d’un instant les frôler du bout des doigts avant de me ressaisir. Surtout qu’à ce moment précis, son regard ce posa sur moi.

    J’eus l’impression d’avoir était touchée par la foudre. La couleur de ses yeux étaient si particulière que je me demandais si il ne portait pas des lentilles. Ils étaient d’un topaze liquide qui me fit fondre littéralement, encadrés par de longs cils noirs qui lui donnait des allures d’ange. Et c’est ce que je crus un instant, m’être retrouvée face à un ange qui avait l’air de souffrir d’un mal étrange que je ne pouvais même pas imaginer.

    -Lui, c’est Edward Cullen mais laisse tomber, à priori aucune des filles n’est assez bien pour lui…

    La voix haut perchée de la jeune fille à mes côtés me sortit de ma contemplation divine et je faillis lui retourner un regard noir pour cette intrusion dans mon paradis. Mais maintenant assis à la table entouré du reste de sa famille, Edward ne me regardait plus et paraissait assez contrarié, ce que je ne comprit pas. Même agités par cette colère, les traits de son visage n’en restaient pas moins tout bonnement merveilleux, et je le comparais cette fois-ci à Adonis, ce magnifique dieu grec de la mythologie.

    Lorsque les yeux de la belle blonde s’accrocha aux miens, je me dépêcha de me retourner devant mon plateau auquel je savais je ne toucherais plus. Manger me paraissait bien dérisoire après avoir croisé le chemin de cette famille hors normes. Je me sentais mal à l’aise, comme observé, mais je me faisais violence pour ne plus me retourner. Il était évident que de telles personnes n’avaient que faire de l’arrivée d’une jeune fille aussi banale que je l’étais et dans un sens j’en étais rassurée. Qu’aurais-je bien put dire à ces êtres si spéciaux? Je n’en avais pas la moindre idée, et mon cœur lui ne cessait de tambouriner dans ma poitrine à un rythme des plus indécents.

    J’entendis la sonnerie retentir, et je fus déchirée entre soulagement et frustration. Il était presque certain que je n’aurais plus le loisir aujourd’hui de les contempler, et j’en ressentais une peine étrange que je qualifiais de très ridicule. Après tout, je ne les connaissais ni d’Eve ni d’Adam et j’étais certaine à 99% que je n’avais apporter aucune attention particulière à leurs yeux ce qui était bien naturelle.

    -On devrait se dépêcher d’y aller… Tu veux que je t’accompagne à ton prochain cours Bella?

    Ce fut Mike, mon chevalier servant attitré qui me sortit de mes rêveries. J’avais perdu la notion du temps, et la reprise des cours me parut bien absurde après ce déjeuner. Doucement, je hochais la tête et il se leva, s’emparant en même temps de mon plateau pour aller le jeter tandis que je me levais tant bien que mal, attrapant mon sac maladroitement et manquant de faire tomber tout son contenu. Avec ma maladresse légendaire, si je commençais à ne plus faire attention aux obstacles se trouvant devant moi, il se pourrait bien que je finisse à l’hôpital avant la fin de la journée!

    -Alors, c’est quoi ton prochain cours?


    Les yeux gris bleus de Mike paraissait bien terne par rapport à l’or liquide que j’avais fixé pendant un court moment. Mais j’essayais d’oublier pour un instant du moins le visage si merveilleux d’Edward, et attrapais mon sac en y sortant mon emploi du temps.

    -Euh… Biologie avancé.

    Alors qu’il se dirigeait déjà vers la sortie, j’hésitais à le suivre sans jeter un dernier regard derrière moi mais je ne le fis pas. Il ne manquait plus que je passe pour une adolescente aux hormones perturbées devant tout le reste du lycée. Je fis donc quelques pas vers la sortie d’une démarche mal assurée avant de m’engouffrer au dehors en direction des grands bâtiments afin d’y suivre mon prochain cours qui ne m’intéressait déjà pas.
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MessageSujet: Re: Le premier jour du début de ma vie... [Fe Cullen/Hale]   Le premier jour du début de ma vie... [Fe Cullen/Hale] EmptyLun 2 Mar - 19:00

    Le bras de Jasper, à température idéale pour Alice, sûrement trop froid pour un humain, se glissa autour de son cou, alors qu’un délicat sourire s’installait sur le visage pâle de la vampire. Ces instants, aussi étranges étaient-ils, étaient parfaits. Ou s’approchaient de la perfection. Et elle ne pouvait les partager qu’avec celui qui était là, tout proche, près d’elle. Jasper. Même aussi longtemps après, elle se souvenait sans peine du bar où ils s’étaient rencontrés, de l’attente à la fois curieuse et nerveuse, et de l’instant où tel un dieu, il avait ouvert la porte de ce petit bar, liant sans le savoir leurs futurs définitivement. Ce souvenir, qui brillait entre les autres, arracha un nouveau sourire rêveur à Alice, avant qu’elle ne détache son regard de son amant.

    Ses yeux s’arrêtèrent une nouvelle fois sur la nouvelle. Un tout petit peu plus qu’auparavant. Juste le temps de la détailler. De longs cheveux un peu bouffis et marrons, de simples yeux noisettes, mais un visage curieux, qui retenait l’attention – ou du moins, celle d’Alice -. Peut-être parce qu’elle l’avait déjà vu ; peut-être parce que derrière ce visage, la vampire imaginait sans peine une très gentille personne. S’appliquant cependant à ne pas trop y penser, elle revint à sa famille, ses yeux rêveurs les survolant rapidement. Emmet, Rosalie, Edward, Jasper. Elle les avait tous vu, et maintenant ils étaient ensembles. Des heures, des jours sans fins avait permit qu’ils se comprennent, qu’ils se connaissent, et tous savaient à l’avance ce qui plairait ou déplairait à tel ou tel personne. Par exemple, Emmet aimait particulièrement les ours, encore plus lorsqu’ils sortaient d’hibernation. Le fait d’être ici, entouré d’humain faisait frémir de désarroi Jasper ; pourtant il ne s’en irait pas. Loin de lui, d’ailleurs, cette idée.

    Non, ce qui attira particulièrement l’attention de la jeune à ce rapide examen fût l’expression d’Edward. Pourquoi semblait-il si tendu, soudainement ? Une légère contrariété naquit sur le fin minois d’Alice. Elle n’aimait pas voir souffrir que ce soit les Cullens ou les Hales. Et puis elle ne comprenait pas. Pourquoi était-il lui aussi si contrarié ? Pourquoi se sentait-il obligé d’être aussi froid dans de tels cas ? Elle leva rapidement les yeux aux ciels, autant pour déplorer ce qu’il venait de dire que pour se donner le temps de réfléchir. Enfin, elle revint vers Jasper, curieuse de savoir ce qu’Edward ressentait à cet instant même, comme espérant avec naïveté qu’il allait pouvoir lui expliquer pourquoi le vampire était si crispé. Au lieu de ça, il lui intima doucement de se calmer. Alors qu’elle s’apprêtait à renchérir, son amant vint déposer un baiser dans son cou, lèvres chaudes sur peau froide, choc des sensations qui réussit à la déconcentrer pendant une minuscule seconde. Son regard doré se fondit instantanément dans celui du vampire qui était à ses côtés. Nul besoin de mots, ils se comprenaient parfaitement.

    S’arrachant avec difficulté à ces yeux dans lesquels elle se perdait sans problème, Alice revint à Edward. Le jaugeant pendant une seconde, elle soupira silencieusement. Ce sourire malicieux qui illuminait son visage l’avait quitté, il n’en restait qu’une ombre. Pourquoi était-ce si dur ?
    « Edward ? Ne t’en fais pas … Ca ira. »
    Sur ses paroles, elle ferma les yeux un court instant, comme cherchant à provoquer ces visions, alors qu’elle laissait doucement glisser sa main sur la jambe de Jasper. Mais rien ne venait, rien ne daignait apparaitre derrière ses paupières closes. Sans montrer nul déception, elle fit réapparaître ses pupilles dorées : ca ne marchait pas ainsi. Elle le savait.
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MessageSujet: Re: Le premier jour du début de ma vie... [Fe Cullen/Hale]   Le premier jour du début de ma vie... [Fe Cullen/Hale] EmptyLun 2 Mar - 21:20


    [Désolée, je suis en retard >.< milles excuses, en plus mon post est pas super , je suis vraiment désolée ^^’]

    Une nouvelle journée venait de commencer dans la petite ville de Forks, les étudiants normaux râlent en se reveillant, se disent que les cours c’est vraiment de la m*rde et qu’on est mieux au lit, que les cours ne devraient commencer qu’à midi et se terminer à 16 heures ! Voilà qui serait beaucoup mieux aux yeux de pas mal de jeunes. S’ils savaient seulement ce que moi et les miens enduraient ! Bien sûr le manque de sommeil ne nous concerne pas, mais les cours ... Je pense que nous, nous avons le droit de dire que c’est chiant , depuis le temps qu’on va au lycée, à la fac, qu’on change de lycée, qu’on retourne à la fac, une routine qu’on sera ammené à vivre pour l’étérnité, forcément, pour nous cela est très lassant, enfin pour moi. Notons, que c’est quand même un moyen d’occuper nos longues journées, bien qu’il y’en ai des plus amusante comme faire les boutiques par exemple,ça c’est le genre d’occupation dont il est impossible de se lasser au cours des siécle, la mode évolue et il faut s’adapeter, enfin bon, là n’est pas vraiment la question.

    Comme tous les matins avant d’allez au lycée je faisais un petit rituel que bon nombre de personne de ma race auraient jugé inutile : J’allais à la douche, je me sechais les cheveux, me faisait un broshing, puis allez m’habiller (ça c’est utile pour tout le monde), aujourd’hui je decidais de mettre un jean slim gris clair, un debadeur noir par dessus lequel je mettrais une veste assortie a mon jean avant de sortir, j’enfilais aussi mes chaussures préférées. Ceci fait je retournais une nouvelle fois dans la salle de bain avant de me mettre de la créme sur le visage, puis du maquillages, je choisissais attentivement les couleures afin qu’elles s’accordent parfaitement à mes vêtements. Une nouvelle fois je quittais la salle de bain pour allez dans ma chambre, j’ouvrais ma boîte à bijoux, véritable bijouterie, les colliers, les bagues, les bracelets et les boucles d’oreilles s’étaient accumulés à l’interieur de la boîte au fil des années. Après avoir longuement hésité je pris une paire d’anneaux simples et une chaine en argent ornée d’un gros pendentif rappellant la mode de l’époque à laquel j’étais née. Me voilà enfin prête, après avoir fait tous ces trucs que les autres jugent inutiles, il en faut jamais trop pour être belle !

    Après avoir mit ma veste, je descendais au rez de chaussé, puis partie au garage, où je retrouvé ma precieuse voiture, la belle coupée rouge. Elle était tellement belle, tellement parfaite, un vrai bijoux de l’automobile. Seul problème elle était sois disant trop remarquable dans une ville comme Forks ? Et pourquoi est-ce que quand on habite dans une ville paumée on n’a pas le droit de montrer qu’on est riche ? Peut être parce qu’il n’est pas bon de se faire remarquer quand on est différent des humains. Tant pis, j’avais trop envie de la conduire ! Je montais donc à bord de ma magnifique voiture et sortis en suivant de près le reste de la Fraterie Cullen. Oubliant complétement les limitations de vitesses je roulais jusqu’au lycée, d’ailleurs peut être aurais-je du allez moins vite car je fus au lycée un peu trop tôt, j’aurais préféré arriver pile à la sonnerie. Tant pis, de toute façon il ne restait pas beaucoup de temps avant que les maudits cours ne commence ! En effet quelques minutes après notre arrivée la sonnerie retentit et nous nous séparâmes pour allez dans nos cours respectifs.

    Je passais la matiné en cours avec Emmett, puis à l’heure du self on rejoignit les autres dans la queue du self. Je passais la premiére main dans la main avec Emmett, les gens nous regardait comme d’habitude, bien qu’ils se soient calmés, ce qui était normal après tout nous n’étions pas un phénomène de foire ! Et ouis j’avais ouïe dire qu’il y’avait une nouvelle élève dans le petit lycée de Forks, tout le monde était au courant de cette nouvelle car ce n’était pas souvent qu’il y’avais des nouveaux à Forks, pauvre fille elle allait se faire harceler, enfin ce n’était pas mon probléme. Comme d’habitude nous prîmes de la nouriture tout en sachant très bien qu’elle ne serait pas manger, c’était ce qu’on appelle du gaspillage mais tant pis, ça nous aide à passer plus où moins pour des humains. Je suivais Emmett qui allait s’installé à la même table que d’habitude, je m’installa à côté d’Emmett, et les autres nous rejoignirent. “Le repas” commença comme tout les autres nous parlions de tout et de rien mais quelque chose n’était pas comme d’habitude, enfin plutôt quelqu’un, Edward semblait bizarre surtout quand se dernier annonça qu’il fallait qu’il sorte, son visage se crispa comme s’il était très ennérvé. Qu’est-ce qui pouvait bien lui arriver ? Les autres essayez le rassurer, ils lui disaient que ça allez aller, mais qu’est-ce qui allez aller (Vlà la phrase ...) ? Pour Rosalie le plus important c’était avant tout de savoir ce qui n’allait pas sinon on pouvait pas savoir que toout irait bien ...


    « Qu‘est-ce qui ne va pas ? »

    On voyait sans doute dans ma voix, que j’étais à des années lumières de ce qui étaient en train de se passer, en même temps, moi je n’avais aucune capacité à voir le futur ou à lire dans les pensées alors forcément je ne pouvait pas être au courant de quelque chose dont on ne me disait rien.
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MessageSujet: Re: Le premier jour du début de ma vie... [Fe Cullen/Hale]   Le premier jour du début de ma vie... [Fe Cullen/Hale] EmptyLun 2 Mar - 23:22

Ce genre d'instant était d'une valeur inestimable aux yeux du jeune immortel qui adorait plus que n'importe quoi les instants ou il se perdait dans les yeux de sa belle ,les yeux d'Alice,de la même couleur que les siens mais tirant plus vers le noisette tandis que les siens tiraient plutôt vers le chocolat... Les deux ensemble donnant le mariage unique du nutella...(jpars en vrille là xD) . Il resta quelques instants ainsi à se noyer dans le regard de sa fiancée de sa moitie plutôt avant de détourner enfin les yeux et de les reportaient sur l'ensemble de la famille. Il regarda d'avantage Rosalie et Emmet,leur relation étaient très différente d'un coté la relation était d'avantage moral et de l'autre physique. En effet pour Alice et Jasper un seul regard suffisait à parler,pour Emmet et Rosalie cela s'exprimer plus dans un geste....

Puis il tourna le regard dans la même direction que sa dulcinée pour voir ce qui l'avait fait détourner les yeux des siens,après tout un regard couleur caramel et remplit d'amour valait mieux que n'importe quel humain non? Aussi il regarda la source du détournement de regard et vit la nouvelle élève,et sut que c'était d'elle qu'émanait cette odeur qui était un supplice total pour Jasper et apparemment pas que pour lui,vue ce qu'il ressentait dans les émotions d'Edward....Il l'observa rien de spécial dans son physique mais qu'est ce qu'elle sentait bon,sans doutes quelques années auparavant ne se serait il pas poser la question et l'aurai charmer avant de la dévorer mais les choses avaient changer il avait Alice et était devenu "végétarien". Il attrapa la main d'Alice dans la sienne plus par sécurité qu'autre chose,il savait qu'il réussirai à se retenir,après tout si l'odeur devenait réellement insupportable il arrêterai simplement de respirer ,mais il préférait avoir une deuxième protection,celle d'Alice en sachant qu'elle était là jamais il ne dévorerai quiconque,de plus pour Jasper dévorait quelqu'un était insupportable il ressentait tout les sentiments de la personne chose assez affreuse.

Il détourna les yeux et les reporta sur le visage de sa douce,en caressant son dos comme pour la rassurée,il sentait très bien les sentiments d'Edward mais préférait garder e tout pour lui car il savait que sa famille détester quand il lisait dans leur sentiment,pourtant cela lui venait tout simplement surtout qu'il avait l'habitude de leur présence cela lui apparaissait encore plus clairement maintenant. ,et Edward était un de ceux qui détestait le plus que Jasper decrypte ses sentiments... Il laissa ses lèvre s'attardaient encore quelques instants sur la gorge parfaite de celle qui lui servait de compagne depuis maintenant bien des années tandis que son souffle chaud,peut être la seule partie des vampires à être chaude, entrait en contact avec la peau gelée et dure de sa tendre aimée...Il adorait particulièrement ce contact le faisant frisonner littéralement il sentit plusieurs regard sur eux lorsequ''il l'embrassât en envoyât une vague de sereinement aux gens qui les observaient avant d'enfin lâcher la gorge, d'Alice
Puis leurs regards caramel se croisèrent à nouveau et Jasper ne put décidement pas se retenir de se noyer dans les yeux d'Alice,cela n'était pas rare et les Cullen en avaient l'habitude.

Alice conseilla de nouveau à Edward de se calmer et Rosalie demanda pourquoi celui ci devait se calmer enfin plutôt ce qui n'allait pas,Jasper sans doutes un des plus toucher avec Edward fut le premier à répondre de sa voix aux accents séduisant et à une vitesse qui fit que seuls les Cullen et Hale puissent l'entendre
-La nouvelle,elle sent diablement bon...
Il sentit de nouveau la main d'Alice sur sa jambe après cette réponse ayant le mérite d'être assez clair,il retint son odeur durant le mouvement de la nouvelle,si elle bougeait il était bien plus simple pour son odeur de rejoindre les narines de Jasper et il n'y tenait pas franchement . Il regardat Alice qui semblait tenter d'obtenir ses visions en vain et lui sourit,avec elle pas besoin de vague de sereinité,un regard surffisait
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MessageSujet: Re: Le premier jour du début de ma vie... [Fe Cullen/Hale]   Le premier jour du début de ma vie... [Fe Cullen/Hale] EmptyMer 4 Mar - 11:14

Insoutenable, voilà tout. Impossible pour Edward de faire comme si de rien était. Bien qu’étant habitué à résister à l’odeur si attirante du sang humain, il lui arrivait de s’évader un instant, sans pour autant se jeter sur le premier humain passant près de lui, habitué, il savait très bien faire en sorte de penser à autre chose et à se contenter de sang animal, mais là, il avait beau tenter de se calmer et faire en sorte de ne pas respirer, il n’arriva à rien, il n’arriva même pas à s’empêcher de respirer, premier réflexe pourtant indispensable lorsque la tentation devient trop forte. Il savait ce qu’Alice allait lui dire juste avant qu’elle ne prononce ses paroles à hautes voix, mais il n’en tint pas rigueur, trop perturbé, et il sentit bien qu’il n’était pas le seul, Jasper, lui aussi, semblait avoir remarqué cette forte odeur émanant de la table de la nouvelle.

A nouveau des paroles résonnèrent de la table de ces filles, qui n’avaient décidemment pas décidé de changer de sujet, parlant encore des Cullen. La voix de Rosalie se fit alors entendre, mais avant qu’il n’est pu dire quoi que ce soit, c’est Jasper qui prit la parole, leur faisant part de leur malaise.

« Pire que ça, j’ai l’impression que je ne vais pas pouvoir me retenir » Fit-il avec rage avant de se lever d’un bond.

D’ici moins d’une minute, la sonnerie allait retentir, et Edward le savait, c’est pourquoi il n’ajouta rien et se dirigea le plus rapidement possible vers la sortie. Si elle avait regarder une nouvelle fois à la table des Cullen, Isabella aurai vu que le vampire n’y était plus, mais visiblement, elle ne le fit pas, et Edward était déjà bien loin, remontant la cour avec vitesse, en tentant de se calmer, il ne faudrait pas qu’il laisse ses émotions prendre le dessus, pas ici en tout cas, d’autant plus que Carlisle, le seul à être apte à le calmer en cas d’écart, ne se trouvait pas dans les parages.

Mais ce qu’Edward ne savait pas encore, c’est que le cours qui l’attendait, celui de Biologie, n’allait pas être de tout repos, car il ignorait qu’Elle y serai aussi. Pour l’instant, il profita simplement des quelques minutes qui lui restait pour s’isoler, ne plus sentir l’attirance d’un quelconque sang humain, car cette soudaine envie de se rassasier ne partirait pas s’il venait à rester là, en compagnie de toutes ces potentielles victimes et il voudrait à coups sur se rassasier, chose à ne pas faire.

Pour un humain, le temps sembla long durant le moment où Edward s’était isolé, près de ce hangar à vélo, mais lorsqu’il se décida à prendre le chemin de la salle de classe, il n’y avait que trois élèves, les autres arrivant après qu’Edward ai pu s’asseoir à sa table, à nouveau calme et serein, en apparence.
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MessageSujet: Re: Le premier jour du début de ma vie... [Fe Cullen/Hale]   Le premier jour du début de ma vie... [Fe Cullen/Hale] EmptyMer 11 Mar - 22:25

Dsl, je m'incruste dans le Rp avec un peu de retard ...

La journée s'annonçait plutôt bonne, bien que pour quelqu'un du tempérament d'Emmett, chaque jour s'annonce sous une "bonne étoile". La nuit, même si nos amis les vampires ne sembles pas s'occuper de la même manière que le reste du commun des mortels, s'était relativement bien passer. En effet, Emmett et Rosalie ont fait vibrer les murs toutes la nuit, l'histoire de se prouver et démontrer leur amour respectif. Bref, passons leurs ébats, car le soleil pointe maintenant le bout de son nez, comme quoi, quand on s'amuse, on voit pas le temps passer. En tout cas, une nouvelle journée de cours s'annonce pour Emmett et sa douce moitié. L'histoire de paraitre correct ou du moins convenable, Emmett décide de prendre une douche et enfile les premiers vêtements qu'il voit en ouvrant l'armoire. Et le hasard fait bien les choses, l'ensemble était très bien assortie et mettait bien en valeur Emmett.
La famille enfin réuni pour aller en cours, ils se dirigent vers le garage pour prendre possession de leur voiture. Malgré qu'Emmett pouvait fort bien emmener tout ce petit monde au lycée de Forks dans sa Jeep, Edward préféra prendre comme à son habitude sa Volvo alors que sa douce moitié préféra prendre au grand dam d'Emmet, sa coupé cabriolé rouge (pour reprendre les posts précédent ^^). Emmett ne pouvait pas comprendre l'attrait que pouvait avoir Rosalie pour cette voiture surtout dans une région comme celle-ci.
La matinée se déroula sans encombre, du moins du point de vu d'un humain, mais pour Emmett même si celle-ci s'annonçait bien, il s'ennuya pendant son cours. Quand soudain ! La sonnerie retentit, annonçant de cette manière la fin des cours pour se matin.
Emmett et Rosalie se dirigèrent vers la caf', ils furent rejoint par alice et Jasper et par Edward. Ils pénétrèrent les premier dans la cafétéria, quand LA chose se produisit. Les yeux de Rosalie se braquèrent dans une direction tandis qu'Emmett apréciait un délicieux parfum.

- Mais quel est ce délicieux fumet ?

Tandis qu'il repérait des yeux la provenance de cette odeur, Rosalie semblait devenir (si elle avait pu) écarlate. Et il y avait de quoi, car se parfum appartenait à une délicieuse demoiselle qui semblait mettre Rosalie dans tout ces états.

- Jalouse ?

Le reste de la famille suivit et tous semblait être intéresser par cette nouvelle odeur.
Enfin assis, Emmett remarqua qu'Edward n'avait pas l'air d'être dans son "assiette".
C'est Rosalie qui demanda à celui-ci la raison de sa tourmente car en effet il y avait de quoi l'être. Emmett regarda Jasper qui semblait être lui aussi, très intéresser par la "nouvelle", et d'ailleurs, il finit par le dire au reste de la famille. Chose logique d'autant plus que Jasper était un nouveau végétarien, alors qu'Emmett était depuis quelque temps déjà, un partisan du menu végétarien à base d'ours.
Edward fit par de sa gêne et se leva alors que la sonnerie annonçant la reprise des cours retentit (déjà o_O). Emmet se dirigea avec son plateau repas encore garnit et mis le tout à la poubelle et s'en alla en compagnie de sa douce Rosalie.
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